Quarantième tome de la saga culte Astérix, « L’iris blanc » est sorti le 26 octobre 2023, aux éditions Albert René. Didier Conrad reste aux commandes des dessins, tandis que nos irréductibles Gaulois s’offrent un nouveau scénariste, notamment connu pour son humour parfois absurde, Fabrice Caro dit Fabcaro. La BD s’offre un nouveau personnage, Vicévertus, médecin-chef des armées de César, un personnage vraiment manipulateur.
Résumé
« Pour éclairer la forêt, la floraison d’un seul iris suffit »
L’Iris blanc est le nom d’une nouvelle école de pensée positive, venue de Rome qui commence à se propager dans les grandes villes, de Rome à Lutèce. César décide que cette méthode peut avoir un effet bénéfique sur les camps qui se trouvent autour du célèbre village gaulois. Mais les préceptes de cette école exercent aussi une influence sur les villageois qui croisent son chemin…
Qu’est-il arrivé à notre chef Gaulois préféré et pourquoi cette mine renfrognée ?
Pas à la hauteur des autres
Je suis toujours contente de retrouver les personnages mythiques de Goscinny et d’Uderzo. Comme beaucoup, Astérix & Obélix ont bercé mon enfance. Seulement, je n’ai pas beaucoup aimé ce dernier tome et c’est bien rare que je n’aime pas un tome d’Astérix ! Je sais que ce tome fait quasiment l’unanimité, je ne vais pas me faire beaucoup d’amis, mais j’ai trouvé le scénario faible. Les jeux de mots ne sont pas terribles, ils m’ont fait sourire, mais sans plus, de plus, j’ai trouvé l’humour un peu lourd. L’histoire est fade, pas très intéressante, les textes sont un peu envahissants et j’ai trouvé la fin bâclée. Le point positif reste les dessins, toujours aussi bien réalisés. Ça reste un Astérix, donc j’ai quand même été contente de me replonger dans les aventures de mes Gaulois préférées, mais je suis déçue.